mauvais diagnostique mise en danger d'un enfant de 9 ans

[coraliet]

Bonjour, le lundi 8 juin mon fils se cogne au genoux à l'école et nous sommes appelé pour l’emmené au urgence, une fois au urgence il est vu par le médecin qui nous dit qu'il y a un hématome au genoux et qu'il y a eu saignement interne derrière la rotule mais qu'il n'expliquai pas la contraction musculaire incessant de la jambe depuis le choc qu'ont devrais rentré et le mettre sous anti-douleur.
Le lendemain sa va toujours pas je repart au urgence et la il est hospitalisé est mis sous atarax et morphine.
le jours suivant donc le mercredi 10 juin nous somme vu par un psy qui nous dit qu'il est en dépression sévère et que les contraction de la jambe sont du à sa, que sa va passé avec de l'atarax et des anti douleur mais que surtout nous devons prendre rendez vous avec le centre médico psychologique, le rendez vous est pris pour le 30 juin.
mais depuis son retours à la maison le mercredi 10 juin sa va toujours pas la jambe n'a jamais cessé de contracté,je le ramène donc dans un autre hôpital plus proche de chez moi qui décide d'appelé le médecin qu'il avait vu dans le premier hôpital, la on me passe le téléphone le docteur en ligne me dit qu'il doit être hospitalisé on psychologie chose que je refuse et le ramène à la maison puis j'observe vu que d'après leurs dire c'est psychologique.
Le mardi 16 juin je l’emmène de nouveau au urgence prés de chez moi car mon fils à mal à la tête des nausée mal a la gorge et des vertiges, une aide soignante me prend a part et me dit qu'il n'a rien que ces dans sa tête il lui donne un décontractant et nous rentrons.

le lendemain nous décidons de l’emmené sur paris pour un deuxième avis nous habitant bordeaux, et la grosse angine blanche et il doit être vu en urgence par un orthopédiste pédiatrique et un neurologue pour sa jambe il est en danger.

Ma question est pouvons nous porté plainte contre les hôpitaux de bordeaux pour non assistance à personne en danger.

[Moderateur-01]

Bonjour,
Depuis le 1er mars 1994, l'article 223-1 du Code pénal prévoit que: "Le fait d'exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende."

Avec ce texte, c'est la prise de risque, sans même qu'un accident survienne, qui peut constituer le fondement de poursuites.

Vous pouvez donc engager la responsabilité de l’hôpital.
Cordialement,