Rôle ambigu de la procureur de la République .
Posté : 22 févr. 2019, 01:23
Bonjour,
Acte 1 :
Il y a deux ans le maire de a commune dépose une plainte en diffamation non publique dans laquelle il indique que j'ai un blog sur internet où je n'arrêterai pas de le critiquer.
Dès réception de la plaint, la procureur la requalifie en diffamation publique. Je suis contacté par la gendarmerie où je me rends. Après ma déposition, j'ai droit à la prise d'empreinte et de photos. Les gendarmes m'indiquent qu'il pourrait me mettre en garde en vue mais comme je me suis rendu de mon plein gré et au vu de ma déposition, il me laisse repartir.
Tout était faux, je n'ai jamais écrit de blog sur la maire. Ensuite, j'ai eu plusieurs refus du greffe pour savoir si cette plainte était classée. Il a fallu que j'écrive au ministre de la Justice pour avoir enfin le document que cette plainte était classée.
En conclusion, le procureur sans vérifier les dires du maire avait engagé des poursuites à mon encontre
Acte 2: le maire écrit des propos diffamants à mon encontre dans son journal au mois de juillet 2018. En conséquence je porte plainte pour diffamation publique auprès du même parquet
Après trois mois, la procureur m'envoie une lettre avec le contenu ci-dessous.
"Je vous informe que le parquet n'intervient pas d'office en matière d'injures et de diffamations. Il appartient à la personne victime de tels faits d'engager elle-même des poursuites par la voie d'une plainte avec constitution de partie civile à déposer entre les mains du doyen des juges d'instruction de Castres ou par celle d'une citation directe devant le tribunal correctionnel. "
Ainsi elle pratique la justice à deux vitesses :
Quand c'est le maire qui dépose plainte, sans vérifier, la procureur intervient en engageant des poursuites
Quand c'est un citoyen, la procureur n'intervient pas, elle l'oblige à porter plainte avec constitution de partie civile.
C’est-à-dire que le citoyen doit avoir des moyens financiers importants pour réclamer justice.
Dans ma commune, on dit que le maire est protégé politiquement. Personne n'ose rien dire, Inacceptable.
Le rôle de la représentante du ministère public est ambigu.
Quelle action puis je entreprendre pour dénoncer son comportement ?
Acte 1 :
Il y a deux ans le maire de a commune dépose une plainte en diffamation non publique dans laquelle il indique que j'ai un blog sur internet où je n'arrêterai pas de le critiquer.
Dès réception de la plaint, la procureur la requalifie en diffamation publique. Je suis contacté par la gendarmerie où je me rends. Après ma déposition, j'ai droit à la prise d'empreinte et de photos. Les gendarmes m'indiquent qu'il pourrait me mettre en garde en vue mais comme je me suis rendu de mon plein gré et au vu de ma déposition, il me laisse repartir.
Tout était faux, je n'ai jamais écrit de blog sur la maire. Ensuite, j'ai eu plusieurs refus du greffe pour savoir si cette plainte était classée. Il a fallu que j'écrive au ministre de la Justice pour avoir enfin le document que cette plainte était classée.
En conclusion, le procureur sans vérifier les dires du maire avait engagé des poursuites à mon encontre
Acte 2: le maire écrit des propos diffamants à mon encontre dans son journal au mois de juillet 2018. En conséquence je porte plainte pour diffamation publique auprès du même parquet
Après trois mois, la procureur m'envoie une lettre avec le contenu ci-dessous.
"Je vous informe que le parquet n'intervient pas d'office en matière d'injures et de diffamations. Il appartient à la personne victime de tels faits d'engager elle-même des poursuites par la voie d'une plainte avec constitution de partie civile à déposer entre les mains du doyen des juges d'instruction de Castres ou par celle d'une citation directe devant le tribunal correctionnel. "
Ainsi elle pratique la justice à deux vitesses :
Quand c'est le maire qui dépose plainte, sans vérifier, la procureur intervient en engageant des poursuites
Quand c'est un citoyen, la procureur n'intervient pas, elle l'oblige à porter plainte avec constitution de partie civile.
C’est-à-dire que le citoyen doit avoir des moyens financiers importants pour réclamer justice.
Dans ma commune, on dit que le maire est protégé politiquement. Personne n'ose rien dire, Inacceptable.
Le rôle de la représentante du ministère public est ambigu.
Quelle action puis je entreprendre pour dénoncer son comportement ?