Droit de visite et d’hébergement récupération de l'enfant
Posté : 05 juil. 2014, 11:41
Bonjour,
aujourd'hui premier jour des vacances scolaires, mon ex mari doit venir chercher ma fille.
Nous n'étions pas d'accord sur les modalités, il est donc normal de se référer au jugement.
Le jugement dit" Monsieur ...... .... devra venir chercher ou faire chercher l'enfant au domicile de Madame ... ...., et le ramener ou le faire ramener à ce même domicile."
Seulement mon ex-mari, me demande de conduire ma fille aujourd'hui à la gare à Paris.
Sachant que je n'ai été avisé qu'il prenait ma fille le 25 juin seulement, je n'ai pas pu m'organiser pour me déplacer sur Paris (je réside en banlieue) et le jugement spécifiant bien qu'il doit venir ou faire venir quelqu'un chez moi pour récupérer ma fille, suis je bien dans mon droit si je reste chez moi.
Je lui ai indiqué par lettre recommandée que je conformerai au jugement (lettre qu'il n'a pas retiré car apparemment déjà partie de chez lui quand la lettre est arrivée), que je lui ai laissé un mail hier soir pour lui signifier et être sure qu'il ai l'information comme quoi je me conformerai au jugement.
Il me répond se matin RDV 15h à la gare à Paris.
Je lui ai répondu que je me conformai ce jour au jugement (sous entendu que je restait chez moi)
Aujourd'hui j'attendrai donc chez moi jusqu'à minuit si il le faut pour qu'il vienne récupérer notre fille.
Me confirmez vous que je suis dans mon droit?
Puis je dors et déjà aller au commissariat pour indiquer dans une main courante qu'il insiste pour que je vienne sur Paris, contrairement à ce que le jugement indique.
De plus si il ne vient pas aujourd'hui il est noté dans le jugement que "a défaut d'accord amiable, si le titulaire du droit de visite et d’hébergement n'a pas exercé ce droit dans la journée lors des vacances scolaires, il sera présumé avoir renoncé à la totalité de la période considérée."
Si il ne vient pas aujourd'hui j'irai faire une main courante au commissariat.
Mais me conformez vous qu'il ne pourra prendre ma fille en vacances?
Cordialement,
Une maman désespérée.
aujourd'hui premier jour des vacances scolaires, mon ex mari doit venir chercher ma fille.
Nous n'étions pas d'accord sur les modalités, il est donc normal de se référer au jugement.
Le jugement dit" Monsieur ...... .... devra venir chercher ou faire chercher l'enfant au domicile de Madame ... ...., et le ramener ou le faire ramener à ce même domicile."
Seulement mon ex-mari, me demande de conduire ma fille aujourd'hui à la gare à Paris.
Sachant que je n'ai été avisé qu'il prenait ma fille le 25 juin seulement, je n'ai pas pu m'organiser pour me déplacer sur Paris (je réside en banlieue) et le jugement spécifiant bien qu'il doit venir ou faire venir quelqu'un chez moi pour récupérer ma fille, suis je bien dans mon droit si je reste chez moi.
Je lui ai indiqué par lettre recommandée que je conformerai au jugement (lettre qu'il n'a pas retiré car apparemment déjà partie de chez lui quand la lettre est arrivée), que je lui ai laissé un mail hier soir pour lui signifier et être sure qu'il ai l'information comme quoi je me conformerai au jugement.
Il me répond se matin RDV 15h à la gare à Paris.
Je lui ai répondu que je me conformai ce jour au jugement (sous entendu que je restait chez moi)
Aujourd'hui j'attendrai donc chez moi jusqu'à minuit si il le faut pour qu'il vienne récupérer notre fille.
Me confirmez vous que je suis dans mon droit?
Puis je dors et déjà aller au commissariat pour indiquer dans une main courante qu'il insiste pour que je vienne sur Paris, contrairement à ce que le jugement indique.
De plus si il ne vient pas aujourd'hui il est noté dans le jugement que "a défaut d'accord amiable, si le titulaire du droit de visite et d’hébergement n'a pas exercé ce droit dans la journée lors des vacances scolaires, il sera présumé avoir renoncé à la totalité de la période considérée."
Si il ne vient pas aujourd'hui j'irai faire une main courante au commissariat.
Mais me conformez vous qu'il ne pourra prendre ma fille en vacances?
Cordialement,
Une maman désespérée.