Bonjour,
je suis burkinabé né en France, à Paris en 1949 d’un père né en 1917 en Volta, ancien combattant, médecin et militaire, député, et ministre français, j’étais scolarisé en maternelle et primaire depuis mon enfance à paris 1951 à 1961, (absente du territoire de 1961 à 1971). En 1971 je reviens poursuivre 03 années d’études supérieurs. le pays d’origine de mon père (la haute-volta proclamée République décembre 58) accède à son indépendance en Août 1960 alors que j’étais en France et mon père siégeait à l’assemblée français déjà dès Novembre 1958. Je suis scolarisé en 1960 à l’internant à Paris. Mon père est français ( en témoigne les différents statuts ci dessus cité) alors réélu au moins 2 fois député et ministre français en 51, en 56 puis, en novembre 1958. Mon acte de naissance se trouve à la préfecture de ma naissance c’est à dire à Paris adrt 10 et jusque la je n’ai pas encore la nationalité française.
En quittant mon pays de naissance j’ai 12 ans, et admettons que j’ai suivie la condition de mon père ( qui a perdu a un moment donné sa nationalité du fait d’avoir occupé des fonctions politique dans son pays d’origine) je n’ai guère renoncé à ma nationalité française.
En plus mon père étant militaire à ma naissance, je n’aurai certainement pas la faculté de répudier ma nationalité à ma naissance, entendu que ce droit n’est pas ouvert au personne ayant exercé dans l’armée.
En quoi les 10 années d’absence et l’effet collectif des indépendances ait pu annulé les effets de l’ordonnance de 1945 selon laquelle ma nationalité n’était guère contestée?
En quoi n’aurai je pas pu conserver ma nationalité française ?
Puis je recouvrir la nationalité française
Crdlt,
Damien