Mise en demeure par un tiers sur litige en domaine publique
Posté : 31 mai 2015, 19:43
Bonjour,
Ma propriété est contigüe à une parcelle communale de petite largeur 4 à 5 m. De l’autre coté de ce terrain communal existait une parcelle qui à la suite du décès du propriétaire a été divisée en 4 petits lots dont 2 se retrouvent aujourd’hui en situation d’enclave. Le nouveau propriétaire souhaite utiliser la parcelle communale sur une longueur d’au moins 50 mètres comme voie d’accès pour desservir ces 2 parcelles enclavées. Il a établi un certificat d’urbanisme qui a été refusé par le maire. Sur le terrain communal inoccupé depuis 1986 j’ai posé un petit chalet en bois avec un "accord verbal " de la municipalité existante et depuis la situation est restée en l’état.
Hier j’ai reçu une L.A.R de l’avocat du propriétaire de la parcelle divisée en 4 me signifiant que le C.U de son client était refusé à cause “de la présence irrégulière d’un bâtiment vous appartenant sur la voie communale cadastrée XX”. Il m’informe que son client envisage saisir le Tribunal de Grande Instance pour occupation illégale de cette parcelle. Il m’indique m’accorder un délai de 15 jours pour trouver une solution amiable avant de saisir le tribunal compétent. Pour conclure il fait référence à l’art 56 du C.P.C pour constituer les formalités préalables ??.
QUESTIONS :
De quel droit cette personne peut t’elle saisir le TGI pour cette affaire ?
La procédure si procédure ne doit elle pas être engagée par la municipalité et ce n’est en aucun cas son souhait.
En cas de procédure cette action devait peut être se faire devant le tribunal administratif ?
Afin de rester dans la légalité devant la loi, quelle suite dois-je donner à cette mise en demeure sachant que je ne souhaite pas engager de procédure. La municipalité souhaite laisser en l’état la situation.
Je vous remercie de vos collaborations.
Ma propriété est contigüe à une parcelle communale de petite largeur 4 à 5 m. De l’autre coté de ce terrain communal existait une parcelle qui à la suite du décès du propriétaire a été divisée en 4 petits lots dont 2 se retrouvent aujourd’hui en situation d’enclave. Le nouveau propriétaire souhaite utiliser la parcelle communale sur une longueur d’au moins 50 mètres comme voie d’accès pour desservir ces 2 parcelles enclavées. Il a établi un certificat d’urbanisme qui a été refusé par le maire. Sur le terrain communal inoccupé depuis 1986 j’ai posé un petit chalet en bois avec un "accord verbal " de la municipalité existante et depuis la situation est restée en l’état.
Hier j’ai reçu une L.A.R de l’avocat du propriétaire de la parcelle divisée en 4 me signifiant que le C.U de son client était refusé à cause “de la présence irrégulière d’un bâtiment vous appartenant sur la voie communale cadastrée XX”. Il m’informe que son client envisage saisir le Tribunal de Grande Instance pour occupation illégale de cette parcelle. Il m’indique m’accorder un délai de 15 jours pour trouver une solution amiable avant de saisir le tribunal compétent. Pour conclure il fait référence à l’art 56 du C.P.C pour constituer les formalités préalables ??.
QUESTIONS :
De quel droit cette personne peut t’elle saisir le TGI pour cette affaire ?
La procédure si procédure ne doit elle pas être engagée par la municipalité et ce n’est en aucun cas son souhait.
En cas de procédure cette action devait peut être se faire devant le tribunal administratif ?
Afin de rester dans la légalité devant la loi, quelle suite dois-je donner à cette mise en demeure sachant que je ne souhaite pas engager de procédure. La municipalité souhaite laisser en l’état la situation.
Je vous remercie de vos collaborations.