agents de la sécurité ferroviaire humiliants....
Posté : 21 nov. 2015, 08:25
Bonjour,
j'ai fait une chute il y a 3 mois entre le quai et le train.
Le train aller repartir et emmené ma jambe, d'autres voyageurs ont bloquer les portes du trains pour m'aider a sortir de ce trou tandis que des agents de la sécurité m'avaient vu et ont préférer m'ignorer. Une ou deux minutes plus tard ils se sont rapproché et se sont moqué ouvertement de moi et de ma chute pour finir en disant que je voulais juste me faire remarqué.... ma jambe était en sang, j'avais très mal et j'étais encore sous le choc. J'ai alors porter plainte mais je reste sans nouvelles... j'ai écrit à la SNCF qui me demande plus de preuves. Cela dis j'ai fourni en plus de ma lettre expliquant les faits dans les moindres détails, les conclusions de l’hôpital, le numéro d'un témoin et ma plainte.....
Enfin bref, en plus de la panique que j'ai eu de perdre au minimum une de mes jambes et de la douleur que j'avait ; j'ai du subir les moqueries humiliantes et déplacées des agents de la sécurité ferroviaire. Sans compter le "non assistance à personne en danger"..... Et on me demande encore plus de preuves, à croire qu'ils veuillent juste couvrir l'horreur et la gravité des faits....
Que puis je faire à présent ? Quels sont mes droits ? Pouvez vous me renseigner s'il vous plait ?
Merci d'avance.
Voici la copie de la lettre envoyé à la SNCF, vous pourrez alors constaté que tout y est bien expliquer..
Madame, Monsieur,
Je vous écris suite à un accident sur la ligne du RER B dans la nuit du 06 au 07 juillet 2015.
En effet, j’ai pris le RER B le 07/07/2015 à 00h42 à gare du Nord direction Mitry Mory pour m’arrêter à Villeparisis. Je me située tout au fond du train. Avant notre entrée à la Plaine stade de France un individu a allumé un cigare, cette odeur me donnant des migraines j’ai voulu sortir prendre l’air à cet arrêt. En sortant sur le quai j’ai croisé la police ferroviaire composé de 3 hommes et une femme (qui n’ont rien dit pour l’odeur du cigare très présente), en remontant dans le train mon pied droit a glissé sur la marche et je suis tombée net dans le trou séparant le train du quai de gare. Mon premier réflexe étant de regarder en direction de la SUGE pour pouvoir réclamer de l’aide j’ai bien vu qu’ils avaient remarqué que j’étais complètement coincé et totalement prise de panique… Cependant aucun d’entre eux n’ai venu a mon secours ni tirer sur l’alarme, ils se sont contenté de faire comme s’ils n’avaient rien vu et de monter a bord du train dans la cabine du conducteur (situer a 3 mètres de moi). J’ai alors entendu la sonnette du train qui signal la fermeture des portes du train, c’est alors que plusieurs voyageurs ont bloqué les portes de ce train pendant que d’autres me soulevaient pour me remonter a bord. Alors soulagée en constatant que ma jambe était sauvé mais une douleur énorme au niveau de ma jambe droite qui saigné et était fortement blessée ! ! Après coup, une ou deux minutes après avoir quitté la gare de la Plaine stade de france, les agents de la SUGE nous ont rejoins dans le dernier wagon… C’est alors que je me suis permise de les interpeller pour leur demander pour quelle raison n’étaient-ils pas venus a mon secours lorsque j’était complètement coincée entre le train qui allait partir en emmenant ma jambe et le quai. C’est alors qu’ils m’ont dis que trois d’entre eux ne m’avait pas vu mais que le quatrième le leur avait dis sans pour autant bouger le petit doigt ! Après cette remarque et des rires déjà bien déplacés, l’un d’entre eux à demander quelle était la note sur 10 qu’on pouvait attribué a ma chute… Simultanément, la dame de la SUGE disait tout bas à son collègue que je cherchais juste à me faire remarquer. J’ai alors fait mine de ne pas avoir compris sa remarque et lui ai demandé de répéter ses propos mais sans succès … Non seulement j’étais choquée psychologiquement et perturbée de ce qu’il venait de se passer avec une douleur insupportable à la jambe que je n'arrivait même plus à poser au sol mais en plus je devais subir l’humiliation de vos agents. C’était pour moi un soulagement lorsqu’ils sont descendu a la Courneuve Aubervillier.
Tout cela est inadmissible venant de la police ferroviaire qui, rappelons le, est censée être présente tout d’abord pour notre sécurité.
Imaginez un peu si les voyageurs présents à bord de ce train avaient réagis de la même manière que la SUGE… Je n’aurais tout simplement plus de jambe…..
Ayant pris le numéro de téléphone d’une des personnes qui m’a relever ce jour là, j’ai alors un témoin qui pourras confirmer mes dires, il s’agit de Mr F**** M**** joignable au 06.*******.
Je joins à cette lettre mon arrêt de travail, les conclusions de l’hôpital, la main courante et la plainte que j’ai effectuées au commissariat de Villeparisis.
Si je n’ai aucune suite en ce qui concerne cette lettre pour le choc psychologique, l’humiliation subit ainsi que pour mes journées de travail perdues (étant serveuse il m’ai impossible d’aller travailler) je me verrais alors obligé de la retransmettre à la direction de la SNCF et d’entamer d’autres démarches.
Dans l’attente d’une réponse de votre part, je vous prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir croire en mes salutations les plus distinguées.
j'ai fait une chute il y a 3 mois entre le quai et le train.
Le train aller repartir et emmené ma jambe, d'autres voyageurs ont bloquer les portes du trains pour m'aider a sortir de ce trou tandis que des agents de la sécurité m'avaient vu et ont préférer m'ignorer. Une ou deux minutes plus tard ils se sont rapproché et se sont moqué ouvertement de moi et de ma chute pour finir en disant que je voulais juste me faire remarqué.... ma jambe était en sang, j'avais très mal et j'étais encore sous le choc. J'ai alors porter plainte mais je reste sans nouvelles... j'ai écrit à la SNCF qui me demande plus de preuves. Cela dis j'ai fourni en plus de ma lettre expliquant les faits dans les moindres détails, les conclusions de l’hôpital, le numéro d'un témoin et ma plainte.....
Enfin bref, en plus de la panique que j'ai eu de perdre au minimum une de mes jambes et de la douleur que j'avait ; j'ai du subir les moqueries humiliantes et déplacées des agents de la sécurité ferroviaire. Sans compter le "non assistance à personne en danger"..... Et on me demande encore plus de preuves, à croire qu'ils veuillent juste couvrir l'horreur et la gravité des faits....
Que puis je faire à présent ? Quels sont mes droits ? Pouvez vous me renseigner s'il vous plait ?
Merci d'avance.
Voici la copie de la lettre envoyé à la SNCF, vous pourrez alors constaté que tout y est bien expliquer..
Madame, Monsieur,
Je vous écris suite à un accident sur la ligne du RER B dans la nuit du 06 au 07 juillet 2015.
En effet, j’ai pris le RER B le 07/07/2015 à 00h42 à gare du Nord direction Mitry Mory pour m’arrêter à Villeparisis. Je me située tout au fond du train. Avant notre entrée à la Plaine stade de France un individu a allumé un cigare, cette odeur me donnant des migraines j’ai voulu sortir prendre l’air à cet arrêt. En sortant sur le quai j’ai croisé la police ferroviaire composé de 3 hommes et une femme (qui n’ont rien dit pour l’odeur du cigare très présente), en remontant dans le train mon pied droit a glissé sur la marche et je suis tombée net dans le trou séparant le train du quai de gare. Mon premier réflexe étant de regarder en direction de la SUGE pour pouvoir réclamer de l’aide j’ai bien vu qu’ils avaient remarqué que j’étais complètement coincé et totalement prise de panique… Cependant aucun d’entre eux n’ai venu a mon secours ni tirer sur l’alarme, ils se sont contenté de faire comme s’ils n’avaient rien vu et de monter a bord du train dans la cabine du conducteur (situer a 3 mètres de moi). J’ai alors entendu la sonnette du train qui signal la fermeture des portes du train, c’est alors que plusieurs voyageurs ont bloqué les portes de ce train pendant que d’autres me soulevaient pour me remonter a bord. Alors soulagée en constatant que ma jambe était sauvé mais une douleur énorme au niveau de ma jambe droite qui saigné et était fortement blessée ! ! Après coup, une ou deux minutes après avoir quitté la gare de la Plaine stade de france, les agents de la SUGE nous ont rejoins dans le dernier wagon… C’est alors que je me suis permise de les interpeller pour leur demander pour quelle raison n’étaient-ils pas venus a mon secours lorsque j’était complètement coincée entre le train qui allait partir en emmenant ma jambe et le quai. C’est alors qu’ils m’ont dis que trois d’entre eux ne m’avait pas vu mais que le quatrième le leur avait dis sans pour autant bouger le petit doigt ! Après cette remarque et des rires déjà bien déplacés, l’un d’entre eux à demander quelle était la note sur 10 qu’on pouvait attribué a ma chute… Simultanément, la dame de la SUGE disait tout bas à son collègue que je cherchais juste à me faire remarquer. J’ai alors fait mine de ne pas avoir compris sa remarque et lui ai demandé de répéter ses propos mais sans succès … Non seulement j’étais choquée psychologiquement et perturbée de ce qu’il venait de se passer avec une douleur insupportable à la jambe que je n'arrivait même plus à poser au sol mais en plus je devais subir l’humiliation de vos agents. C’était pour moi un soulagement lorsqu’ils sont descendu a la Courneuve Aubervillier.
Tout cela est inadmissible venant de la police ferroviaire qui, rappelons le, est censée être présente tout d’abord pour notre sécurité.
Imaginez un peu si les voyageurs présents à bord de ce train avaient réagis de la même manière que la SUGE… Je n’aurais tout simplement plus de jambe…..
Ayant pris le numéro de téléphone d’une des personnes qui m’a relever ce jour là, j’ai alors un témoin qui pourras confirmer mes dires, il s’agit de Mr F**** M**** joignable au 06.*******.
Je joins à cette lettre mon arrêt de travail, les conclusions de l’hôpital, la main courante et la plainte que j’ai effectuées au commissariat de Villeparisis.
Si je n’ai aucune suite en ce qui concerne cette lettre pour le choc psychologique, l’humiliation subit ainsi que pour mes journées de travail perdues (étant serveuse il m’ai impossible d’aller travailler) je me verrais alors obligé de la retransmettre à la direction de la SNCF et d’entamer d’autres démarches.
Dans l’attente d’une réponse de votre part, je vous prie, Madame, Monsieur, de bien vouloir croire en mes salutations les plus distinguées.